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Jenny Ouellet
2025 - Red Decline Series
This series explores the destruction and irreversibility of fire. Through geometric compositions reminiscent of mosaics, flames unfold in shades of orange-red, yellow, blue-grey, and yellow-grey, consuming trees and houses. Movement is ever-present, suggesting both combustion and collapse.
As in the series on floods, birds in flight cross the canvases—silent witnesses to the chaos—perhaps hinting at a thread of continuity, a glimmer of hope amid disaster. What once was, will be no more. Beyond ecological catastrophe, the series also resonates as a broader metaphor: a parallel with crumbling structures, notably the weakening of democracy south of Canada.

Rouge murmure
acrylique sur toile, 65'' X 48''
La toile Rouge Murmure évoque une forêt en feu dans une atmosphère dominée par les gris, comme figée au seuil de l’apaisement. Des formes géométriques organiques rouges, orangées et jaunes se déploient sur les contours calcinés des arbres. Un ruban jaune, prenant l’allure d’un visage, se superpose à la scène, rappelant la présence humaine au cœur du dérèglement. Le sol, visible et brûlant, dévoile les racines, entremêlées de formes géométriques strictes aux tons chauds. Cette œuvre silencieuse capte l’instant fragile entre chaos et résilience.
La toile Rouge Murmure évoque une forêt en feu dans une atmosphère dominée par les gris, comme figée au seuil de l’apaisement. Des formes géométriques organiques rouges, orangées et jaunes se déploient sur les contours calcinés des arbres. Un ruban jaune, prenant l’allure d’un visage, se superpose à la scène, rappelant la présence humaine au cœur du dérèglement. Le sol, visible et brûlant, dévoile les racines, entremêlées de formes géométriques strictes aux tons chauds. Cette œuvre silencieuse capte l’instant fragile entre chaos et résilience.

Dans l'ombre du feu
acrylique sur toile, 66'' X 48''
À l’ombre du feu, issue de la série Rouge Déclin, met en scène les vestiges d’un incendie encore actif. La composition, structurée en trois plans distincts, offre une lecture en strates du désastre. Dans la partie supérieure, des bâtiments en flammes se consument ; les brasiers sont rendus par des formes géométriques, dans la continuité plastique de la série. Au centre, une zone plus stable évoque le sol : une mosaïque de formes statiques, aux tons gris et chauds, qui fait écho au mouvement chaotique des structures en feu. Dans la partie inférieure, un couple gris, immobile, semble attendre, replié dans une sorte de caverne. Cette superposition des plans invite à une réflexion sur la position humaine face à la catastrophe — entre exposition, repli et attente.
À l’ombre du feu, issue de la série Rouge Déclin, met en scène les vestiges d’un incendie encore actif. La composition, structurée en trois plans distincts, offre une lecture en strates du désastre. Dans la partie supérieure, des bâtiments en flammes se consument ; les brasiers sont rendus par des formes géométriques, dans la continuité plastique de la série. Au centre, une zone plus stable évoque le sol : une mosaïque de formes statiques, aux tons gris et chauds, qui fait écho au mouvement chaotique des structures en feu. Dans la partie inférieure, un couple gris, immobile, semble attendre, replié dans une sorte de caverne. Cette superposition des plans invite à une réflexion sur la position humaine face à la catastrophe — entre exposition, repli et attente.

Étreinte Embrasée
acrylique sur toile, 67'' X 51''
Étreinte embrasée fait partie de la série Rouge déclin. Dans cette œuvre, une forêt est dévorée par les flammes, évoquées non pas de façon littérale, mais à travers des formes géométriques vibrantes. Quelques troncs d’arbres demeurent visibles au cœur de l’incendie. Les flammes semblent se refléter à la surface de l’eau, créant une dualité troublante entre destruction et mémoire. Dans l’ombre du brasier, une silhouette recroquevillée incarne la peur et la fragilité. Au-dessus, des oiseaux traversent un ciel enfumé — signes récurrents de résilience et d’espoir dans la série. Le contraste entre abstraction et figuration invite à une réflexion sur l’impact émotionnel et écologique du feu, à la fois force naturelle et métaphore du déclin sociétal.
Étreinte embrasée fait partie de la série Rouge déclin. Dans cette œuvre, une forêt est dévorée par les flammes, évoquées non pas de façon littérale, mais à travers des formes géométriques vibrantes. Quelques troncs d’arbres demeurent visibles au cœur de l’incendie. Les flammes semblent se refléter à la surface de l’eau, créant une dualité troublante entre destruction et mémoire. Dans l’ombre du brasier, une silhouette recroquevillée incarne la peur et la fragilité. Au-dessus, des oiseaux traversent un ciel enfumé — signes récurrents de résilience et d’espoir dans la série. Le contraste entre abstraction et figuration invite à une réflexion sur l’impact émotionnel et écologique du feu, à la fois force naturelle et métaphore du déclin sociétal.

Ouragan rouge (Red Hurricane)
acrylique sur toile, 31'' X 68''
Ouragan rouge s’inscrit dans la série Déclin rouge et évoque un ouragan de feu, où la force destructrice prend une dimension presque mythique. Dans un vaste mouvement circulaire, des maisons semblent happées par la tempête, arrachées de leurs assises et consumées par les flammes. Au cœur de ce tourbillon ardent, un œil apparaît, comme une présence qui observe silencieusement le chaos. Autour, des formes sombres, proches de branches calcinées, se laissent emporter dans la spirale, renforçant l’impression d’un monde en proie à la dévastation.
Ouragan rouge s’inscrit dans la série Déclin rouge et évoque un ouragan de feu, où la force destructrice prend une dimension presque mythique. Dans un vaste mouvement circulaire, des maisons semblent happées par la tempête, arrachées de leurs assises et consumées par les flammes. Au cœur de ce tourbillon ardent, un œil apparaît, comme une présence qui observe silencieusement le chaos. Autour, des formes sombres, proches de branches calcinées, se laissent emporter dans la spirale, renforçant l’impression d’un monde en proie à la dévastation.

Lisière ardente
Acrylique sur toile 32'' X 58'' – Série Déclin rouge
Dans cette œuvre entièrement abstraite, le feu prend toute la place. Un rouge incandescent envahit la toile, évoquant l’intensité d’un brasier en pleine action. Progressivement, la couleur se transforme, glissant vers des teintes bleu gris et rose, où flottent des formes géométriques aux contours stricts.
La toile est traversée de haut en bas par un ruban jaune en forme de Y inversé. Cette bande scinde le haut de la composition en deux espaces : à droite, les traces du passage du feu — désolation, fumée, branches calcinées, tisons éteints — prennent forme dans un paysage encore chaud, presque silencieux. À gauche, le brasier est encore vivant. Des tisons enflammés s’élèvent vers le ciel dans un mouvement vertical, comme un dernier souffle incandescent ; un brasier de formes organiques couve dans les profondeurs.
Cette « lisière ardente » marque une zone de bascule, entre combustion et silence, entre chaos et résidus. Sans aucune figuration, la toile suggère pourtant une présence, une tension, un territoire instable.
Dans cette œuvre entièrement abstraite, le feu prend toute la place. Un rouge incandescent envahit la toile, évoquant l’intensité d’un brasier en pleine action. Progressivement, la couleur se transforme, glissant vers des teintes bleu gris et rose, où flottent des formes géométriques aux contours stricts.
La toile est traversée de haut en bas par un ruban jaune en forme de Y inversé. Cette bande scinde le haut de la composition en deux espaces : à droite, les traces du passage du feu — désolation, fumée, branches calcinées, tisons éteints — prennent forme dans un paysage encore chaud, presque silencieux. À gauche, le brasier est encore vivant. Des tisons enflammés s’élèvent vers le ciel dans un mouvement vertical, comme un dernier souffle incandescent ; un brasier de formes organiques couve dans les profondeurs.
Cette « lisière ardente » marque une zone de bascule, entre combustion et silence, entre chaos et résidus. Sans aucune figuration, la toile suggère pourtant une présence, une tension, un territoire instable.

Le solitaire en feu
Accrylique sur toile, 66'' X 37''
Cette toile capture l’instant suspendu d’un arbre isolé, consumé par un incendie qui embrase l’horizon. L’arbre, figure à la fois fragile et résistante, se dresse au cœur d’un brasier intense, ses racines plongées dans une chaleur sourde qui ravage le sol.
Les formes organiques superposées et séparées par un ruban de chaleur évoquent la fragmentation et la fragilité d’un écosystème en déclin. En dessous, les silhouettes inversées de maisons symbolisent pour moi la vulnérabilité humaine face à cette catastrophe environnementale.
« Le solitaire en feu » est un hommage à la résilience dans la destruction, une méditation sur l’impact des feux dévastateurs et sur le sentiment de solitude, d’impuissance que peut engendrer la crise écologique.
Cette toile capture l’instant suspendu d’un arbre isolé, consumé par un incendie qui embrase l’horizon. L’arbre, figure à la fois fragile et résistante, se dresse au cœur d’un brasier intense, ses racines plongées dans une chaleur sourde qui ravage le sol.
Les formes organiques superposées et séparées par un ruban de chaleur évoquent la fragmentation et la fragilité d’un écosystème en déclin. En dessous, les silhouettes inversées de maisons symbolisent pour moi la vulnérabilité humaine face à cette catastrophe environnementale.
« Le solitaire en feu » est un hommage à la résilience dans la destruction, une méditation sur l’impact des feux dévastateurs et sur le sentiment de solitude, d’impuissance que peut engendrer la crise écologique.

Chute incandescente
acrylique sur toile, 58'' X 51''
Dans cette composition où l’abstraction côtoie des formes reconnaissables, une série de maisons en flammes s’étire à l’horizon. Deux rubans jaunes longent la toile et tracent des courbes douces, évoquant la silhouette d’un sablier, traversant les bâtisses comme une menace silencieuse ou une mesure invisible du temps qui s’accélère.
Les flammes surgissent d’un agencement de formes géométriques, tantôt strictes, tantôt organiques comme des braises, le tout amplifiant la tension du tableau. Des mouvements d’eau, eux aussi suggérés, se superposent sans apaiser la scène. Ici, feu et eau sont les coéquipiers d’un même déséquilibre.
Cette chute incandescente évoque la lente dégradation de nos repères : habitats, rythmes, temporalité; et laisse flotter l’idée d’un temps en train de se fragmenter. Un équilibre fragile, suspendu dans un glissement irréversible.
Dans cette composition où l’abstraction côtoie des formes reconnaissables, une série de maisons en flammes s’étire à l’horizon. Deux rubans jaunes longent la toile et tracent des courbes douces, évoquant la silhouette d’un sablier, traversant les bâtisses comme une menace silencieuse ou une mesure invisible du temps qui s’accélère.
Les flammes surgissent d’un agencement de formes géométriques, tantôt strictes, tantôt organiques comme des braises, le tout amplifiant la tension du tableau. Des mouvements d’eau, eux aussi suggérés, se superposent sans apaiser la scène. Ici, feu et eau sont les coéquipiers d’un même déséquilibre.
Cette chute incandescente évoque la lente dégradation de nos repères : habitats, rythmes, temporalité; et laisse flotter l’idée d’un temps en train de se fragmenter. Un équilibre fragile, suspendu dans un glissement irréversible.

Oscillation brûlante
acrylique sur toile, 31'' X 58''
Oscillation brûlante est la première œuvre de la série Rouge Déclin. Entièrement abstraite, elle explore la puissance d’un incendie sans recourir à aucune figuration. Le feu y est exprimé par une composition vibrante, où se déploient l’énergie, la violence et la force brute de la combustion. La fumée, omniprésente, s’élève en volutes, tandis que les flammes se diffusent dans une dynamique presque rythmique. Dans la partie inférieure, une accalmie relative semble poindre : des formes grises et rosées évoquent les ondulations laissées à la surface de l’eau par un caillou lancé — image de résonance et de propagation. Cette œuvre donne le ton de la série : un feu intérieur, agité, en transformation constante.
Oscillation brûlante est la première œuvre de la série Rouge Déclin. Entièrement abstraite, elle explore la puissance d’un incendie sans recourir à aucune figuration. Le feu y est exprimé par une composition vibrante, où se déploient l’énergie, la violence et la force brute de la combustion. La fumée, omniprésente, s’élève en volutes, tandis que les flammes se diffusent dans une dynamique presque rythmique. Dans la partie inférieure, une accalmie relative semble poindre : des formes grises et rosées évoquent les ondulations laissées à la surface de l’eau par un caillou lancé — image de résonance et de propagation. Cette œuvre donne le ton de la série : un feu intérieur, agité, en transformation constante.

Mire de feu (vu du ciel)
acrylique sur toile, 56'' X 58''
Mire de feu, issue de la série Rouge déclin, propose une vue aérienne d’une forêt en flammes. Le feu s’y déploie en un brasier mêlant formes géométriques organiques et strictes, incarnant à la fois la violence et la rigueur du phénomène. Parmi les flammes, des oiseaux en vol — symboles récurrents d’espoir et de résilience dans la série — traversent la composition. Cette confrontation entre destruction et vitalité évoque le chaos des incendies et la persistance de la nature face au dérèglement environnemental. Par sa vue en hauteur, l’œuvre invite à prendre du recul sur la catastrophe, à en embrasser la complexité et la portée.
Mire de feu, issue de la série Rouge déclin, propose une vue aérienne d’une forêt en flammes. Le feu s’y déploie en un brasier mêlant formes géométriques organiques et strictes, incarnant à la fois la violence et la rigueur du phénomène. Parmi les flammes, des oiseaux en vol — symboles récurrents d’espoir et de résilience dans la série — traversent la composition. Cette confrontation entre destruction et vitalité évoque le chaos des incendies et la persistance de la nature face au dérèglement environnemental. Par sa vue en hauteur, l’œuvre invite à prendre du recul sur la catastrophe, à en embrasser la complexité et la portée.
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